Lexique digital

Le terme adwords désigne l’offre publicitaire de Google, qui consiste en l’achat de mots-clés pour diffuser une publicité de manière très ciblée en fonction des termes recherchés par les internautes. La publicité s’affiche sous forme de bannière ou d’annonce. Le tarif des adwords est défini selon un système d’enchères en temps réel.

Ce sont les espaces publicitaires qui s’affichent sur les sites web. Souvent, elles sont animées pour attirer l’attention de l’internaute.

C’est un site (ou un espace d’un site) web utilisé pour partager des articles liés à un thème spécifique, avec un ton et une ligne éditoriale adaptés. Les contenus s’affichent dans une logique d’actualité, du plus récent au plus ancien. Des commentaires peuvent être ouverts pour permettre aux lecteurs de réagir. Un blog peut être tenu par un particulier, une institution ou une marque.

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C’est le fait de choisir un public particulier pour diffuser un contenu (informationnel, commercial) adéquat. Issu du marketing, ce terme peut s’appliquer à une stratégie de communication globale : cibler ses publics pour mieux s’y adresser.

Issu du marketing, ce terme se prête bien à la mesure de l’efficacité d’une communication web. La conversion désigne le passage à l’action de l’internaute : par exemple, de la simple visite sur un site web à un engagement (selon l’action attendue : inscription à une newsletter, achat, demande de contact). L’engagement se fait dans une aire de conversion tel qu’un espace d’inscription en ligne, un panier de commande, un questionnaire. On parle de taux de conversion pour mesurer l’efficacité d’une opération.

« Custom Relationship Management », c’est-à-dire en français « gestion de la relation client ». Aujourd’hui, l’utilisation du terme est souvent limitée au outils : e-mailing, enquêtes de satisfaction, programmes de fidélisation. Le CRM doit pouvoir intégrer la stratégie relationnelle plus globale : connaître les attentes du client pour interagir avec lui.

Le terme désigne la transformation numérique des entreprises, qui font face à une société de plus en plus connectée. Ce mouvement de fond transforme les attentes des clients, et pousse les entreprises à innover aussi bien en matière d’organisation, de services, que de communication. La digitalisation, plus qu’un passage obligé, est une opportunité : le cabinet McKinsey évalue à 40% l’augmentation brute potentielle du résultat opérationnel pour une entreprise qui réussit sa mutation numérique.

Un Drive est un service qui permet aux consommateurs de passer une commande en ligne et de la retirer en magasin. Les premiers Drive ont été développés par les grandes enseignes de distribution, et le service s’étend maintenant à un grand nombre de commerces. Le terme Drive (conduire) fait référence à la possibilité de faire ses achats sans quitter son véhicule.

Il s’agit du commerce de vente en ligne (le Drive en fait partie) qui se fait sur Internet via des terminaux fixes ou mobiles (ordinateur, mobile, tablette). Le e-commerce désigne aussi bien la vente à distance, lorsqu’il s’agit de biens, et la vente de services en ligne. En 2014, la Fédération du e-commerce et de la vente à distance a enregistré plus de 13,3 milliards d’euros de ventes en ligne, en hausse de 10,5 % par rapport à 2013. Le marché reste à conquérir pour les entreprises, car la plupart des ventes se font encore sur les dix sites de e-commerce les plus importants.

Un écosystème digital est un ensemble d’outils web synchronisés (site Web, blog, newsletters, profils sociaux, applications) qui guident l’internaute vers l’action souhaitée : prise de contact, fidélisation, parrainage, prescription etc. Pour une entreprise, c’est un véritable outil commercial de l’entreprise, au service de sa relation client. Pour que l’ensemble fonctionne, il faut animer ces différents outils avec un planning régulier.

Né il y a dix ans, Facebook est le plus important des réseaux sociaux, le deuxième site web le plus fréquenté au monde après Google. En France, il compte 28 millions d’utilisateurs actifs mensuels qui y passent en moyenne 5h18 chaque mois.

Le moteur de recherche Google est le site le plus visité au monde. 30 milliards de milliards de pages sont indexées par Google. Il offre aux internautes de nombreux services gratuits : la messagerie Gmail, le navigateur Google Chrome, le réseau social Google +, le service de stockage Google Drive…

C’est le réseau social lancé par le premier moteur de recherche mondial : Google. G+ ne révolutionne pas les réseaux sociaux et s’avère moins évident d’utilisation que son cousin Facebook. Ses fonctionnalités sont inspirées de Twitter, Facebook et Linkedin, et l’utilisateur peut regrouper ses contacts en fonction de son niveau de relation en utilisant les cercles.

Sur Google+, on peut remplir une biographie, organiser ses contacts, partager des infos de tout type, tchater avec ses contacts, suivre des actualités etc. Lorsqu’un internaute crée une adresse Gmail, son profil G+ est automatiquement créé. C’est la grande force du réseau qui assure également un bon référencement sur Google. En moyenne, les utilisateurs passent 6minutes et 47 secondes par mois sur G+.

Aussi appelé « mot-dièse » dans sa version francisée, le hashtag est d’abord apparu sur Twitter avant de se généraliser aux autres réseaux sociaux. Un hashtag permet de catégoriser un post avec le sigle dièse. Par exemple : #communication #web #digital #RH #sport #conso… En cliquant sur un hashtag, on peut visualiser tous les posts qui l’ont utilisé. C’est particulièrement utile par exemple quand on organise un évènement : grâce à un hashtag dédié, on peut retrouver toutes les discussions en lien avec un sujet. Le hashtag est aussi utilisé dans les médias, pour faire interagir les spectateurs/auditeurs en direct.

l’infobésité désigne l’avalanche d’informations qui caractérise notre quotidien. Ce sont les nouvelles technologies qui ont permis cette surabondance de contenus. Le défi est de trier ces informations pour avoir un accès ciblé et utile, sous peine d’être noyé sous un flux permanent. C’est le défi des médiateurs de contenus : par exemple, en entreprise, quelqu’un va se charger de faire le tri pour diffuser le plus utile aux différents publics (collaborateurs, clients, partenaires). C’est une nouvelle manière de concevoir la veille, qui a toujours existé.

Instagram est un réseau social de partage d’images et de vidéos sur mobile. Créé en 2010, il a depuis été racheté par Facebook. La particularité d’Instagram est la possibilité d’ajouter des filtres de couleurs à ses contenus. Chaque seconde, 60 photos, 575 likes et 81 commentaires sont ajoutés. Comme sur Twitter, l’utilisateur peut faire des recherches par hashtags (mots clefs) afin de découvrir des photos pouvant l’intéresser.

C’est le premier réseau social professionnel mondial. Il compte 150 millions d’utilisateurs actifs dans le monde dont 6 millions d’utilisateurs actifs en France. Il est centré sur le marché de l’emploi, les compétences professionnelles, les relations professionnelles entre les membres du réseau. Il est gratuit mais l’utilisateur peut choisir d’avoir accès à plus d’options en devenant membre premium.

Le réseau est donc composé de membres mais également de groupes professionnels. Les entreprises peuvent choisir de créer leur profil LinkedIn afin d’être référencées par le réseau et de partager des nouvelles professionnelles relatives à leur domaine d’activité ou des offres d’emploi (système premium).

Les recruteurs et cabinets de recrutement utilisent de plus en plus LinkedIn pour trouver des candidats ou se renseigner sur les cadres. Les 10 termes les plus utilisés par les professionnels européens sur le réseau : innovant, dynamique, motivé, grande expérience, proactif, esprit d’équipe, solides antécédents, valeur ajoutée, centré sur les résultats et apte à résoudre les problèmes.

Netvibes est un service en ligne qui vous permet de composer vos « Dashboards », c’est-à-dire des tableaux de bord thématiques. Vous pouvez ajouter les flux des sites et réseaux qui vous intéressent, pour voir en un coup d’œil les derniers contenus parus. C’est un outil efficace pour trier vos sources et gérer la foule d’informations disponibles sur le net (voir plus haut la définition de l’infobésité). Le service est gratuit, sauf pour les fonctionnalités premium.

Une newsletter sert à adresser à des abonnés les dernières informations sur une marque, une entreprise, un site web. Elle peut aussi servir à partager un service, ou à offrir un avantage exclusif aux abonnés.

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Pinterest est un réseau social qui consiste à collecter des images dans un Dashboard (un tableau) en fonction de ses centres d’intérêts. Contrairement à Instagram l’on partage principalement ses propres contenus, sur Pinterest il est d’usage de collecter des images de sources diverses. C’est le principe d’une collection, incarnée par l’action « Pin » qui consiste à « épingler » une image.

Sur Pinterest, une marque peut partager ses produits / services / influences etc. et les « ranger » dans différents tableaux thématiques. Pour certaines entreprises, Pinterest est passé devant Facebook en terme de source de trafic.

60 millions d’utilisateurs sont actifs dans le monde dont 157 000 en France. Le réseau est essentiellement féminin (60 à 80% de ses membres sont des femmes).

Le référencement désigne le fait d’être indexé dans les moteurs de recherche, Google en tête. Travailler sont référencement permet d’optimiser sa visibilité lorsqu’un internaute fait une recherche en lieu avec les contenus diffusé par son site.

Il existe un référencement dit « naturel », celui que Google effectue en fonction de son propre algorithme secret qui intègre le contenu d’une page, sa popularité, sa mise à jour. Le fil conducteur, c’est la pertinence du contenu par rapport à la recherche effectuée. Le référencement payant permet d’apparaître sous forme de publicité à l’issue d’une recherche.

Le site vitrine est le nom donné au site web traditionnel d’une entreprise ou d’une organisation. Comme son nom l’indique, sa fonction est de refléter l’identité de l’entreprise sur le web. Si le terme est un peu dépassé car il évoque un objet statique, ce type de site est essentiel dans un écosystème de communication digitale.

C’est le 1er réseau social qui fonctionne sur le principe du micro-blogging. En 2014, il regroupe 271 millions d’utilisateurs actifs dans le monde dont 6,8 millions de visiteurs uniques en France.

Le fonctionnement ? Chaque utilisateur peut décider de partager les infos qui l’intéressent et pourront intéresser ses followers et en attirer de nouveaux : actualités, humour, expériences personnelles, bons mots… Tous les messages des comptes « followés » (c’est-à-dire, suivis par l’utilisateur) sont partagés sur la timeline de Twitter.

C’est également un réseau social professionnel, mais à la différence de LinkedIn, il s’agit du premier réseau social professionnel français. En 2014, il compte 60 millions de membres dans le monde dont 9 millions de membres en France (plus que sur LinkedIn). L’entreprise connait une croissance importante, surtout dans les pays francophones. En 2012, sa croissance a été évaluée à plus de 12%. Le principe est assez similaire à celui de Linkedin mais le site est moins axé sur la publication d’informations. Le partage s’avère moins ergonomique.

C’est un magazine en ligne. Il peut s’agir de la version digitale d’un magazine papier, ou d’un média 100% digital. Le webmagazine peut-être animé par un groupe média ou par une marque, dans le cadre d’une stratégie de contenus.

Le webmagazine permet de prouver son expertise dans un domaine tout en favorisant une plus grand proximité avec ses publics.